Atelier

Découpe papier

Du craft, papier et carton. Tryptiques, cartes postales, enve-
loppes… C’est la base de la ligne graphique. Pourquoi ?

Parce que c’est beau, bon marché, peu salissant et qu’on peut imprimer en blanc pour mettre les couleurs en valeur plus tard. On découpe avec différents massicots ou cutters.
Sur les triptyques, on colle un papier que l’on a déchiré à la main, selon une forme spécifique à chaque lieu, comme une image de la ville.

Imprimerie sérigraphie


La sérigraphie, procédé d’impression antique (Chine 1000
av. J.-C.) utilise la technique du pochoir pour poser les couleurs une à une et imprimer en série. Elle apparait

comme la meilleure solution pour le traitement artisanal de nos Chroniques. On imprime d’abord des lignes blanches, comme une image de l’architecture, puis une couleur spécifique à chaque triptyque.

Atelier couleurs

On colorie ensuite chaque carte à la main afin d’activer le dessin. Chacun d’elles devient ainsi imprévisible et unique comme une image de la vie.

Cartes postables

On replie le triptyque pour lui rendre son apparence originelle de carte postale. On affranchit au tarif en vigueur, on ajoute aussi un timbre de notre propre système interne et deux tampons Chroniques. On écrit et signe la carte. On prépare ensuite son retour :

on écrit sur le second volet l’adresse de Chroniques Postales, on affranchit et on ajoute là aussi timbre et tampons Chroniques. Enfin, on ferme le tout avec le bandeau orange (pour éviter l’ouverture pendant le trajet) et on appose notre propre tampon d’envoi.